- EAN13
- 9782364290990
- Éditeur
- Yves Michel
- Date de publication
- 06/11/2021
- Collection
- Économie
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Une Monnaie au service du bien commun - Libérer l’intérêt collectif du carcan de l’économie marchande
Philippe Derudder
Yves Michel
Économie
Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Yves Michel 12,00
Et si une monnaie nationale complémentaire était la clé de toutes nos crises !
Au fil de cette fiction, Philippe Derudder vulgarise l’intérêt d’une monnaie
nationale complémentaire aux devises nationales pour protéger le Bien commun
des règles de l’économie marchande.
Suite à un cataclysme planétaire, les survivants se retrouvent disséminés sur
deux îles et un archipel.
Une île choisit de continuer à fonctionner sur le modèle du monde disparu
(monnaie-dette et démocratie représentative), l’autre préfère la démocratie
semi-directe et crée une monnaie publique ex nihilo sans intérêt. Après de
longues années, les habitants des deux îles se découvrent mutuellement.
L’île restée sur l’ancien modèle possède le plus haut niveau de savoir-faire
et les ressources naturelles, prises sur l’archipel.
Les habitants de l’autre île, tentés par ces avantages, s’alignent sur leur
fonctionnement.
Deux générations plus tard, le constat est là : leur niveau de confort s’est
amélioré certes, mais au prix d’inégalités sociales importantes et de
dégradations environnementales croissantes. C’est alors que l’idée de séparer
l’intérêt particulier de l’intérêt collectif est proposée et mise en œuvre
avec une monnaie complémentaire non convertible et n’ayant cours que sur
l’île. Ils ont trouvé la clé !
À notre tour d’oser créer une monnaie complémentaire à l’euro pour préserver
les intérêts collectifs garants de notre bien-être.
Au fil de cette fiction, Philippe Derudder vulgarise l’intérêt d’une monnaie
nationale complémentaire aux devises nationales pour protéger le Bien commun
des règles de l’économie marchande.
Suite à un cataclysme planétaire, les survivants se retrouvent disséminés sur
deux îles et un archipel.
Une île choisit de continuer à fonctionner sur le modèle du monde disparu
(monnaie-dette et démocratie représentative), l’autre préfère la démocratie
semi-directe et crée une monnaie publique ex nihilo sans intérêt. Après de
longues années, les habitants des deux îles se découvrent mutuellement.
L’île restée sur l’ancien modèle possède le plus haut niveau de savoir-faire
et les ressources naturelles, prises sur l’archipel.
Les habitants de l’autre île, tentés par ces avantages, s’alignent sur leur
fonctionnement.
Deux générations plus tard, le constat est là : leur niveau de confort s’est
amélioré certes, mais au prix d’inégalités sociales importantes et de
dégradations environnementales croissantes. C’est alors que l’idée de séparer
l’intérêt particulier de l’intérêt collectif est proposée et mise en œuvre
avec une monnaie complémentaire non convertible et n’ayant cours que sur
l’île. Ils ont trouvé la clé !
À notre tour d’oser créer une monnaie complémentaire à l’euro pour préserver
les intérêts collectifs garants de notre bien-être.
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